Michael Shellenberger

Michael Shellenberger
Biographie
Naissance
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ColoradoVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Earlham College
Greeley Central High School (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Rédacteur à
Autres informations
A travaillé pour
Breakthrough Institute (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Genre artistique
Site web
Distinction
Heroes of the Environment (en)Voir et modifier les données sur Wikidata

Michael Shellenberger, né le au Colorado, est un auteur américain.

Fondateur de l'association Environmental Progress et cofondateur du cercle de réflexion Breakthrough Institute (en)[1], il est notamment connu pour ses prises de position en faveur de l'énergie nucléaire.

Figure controversée, Shellenberger est en désaccord avec la plupart des écologistes au sujet de l'impact des menaces environnementales et des politiques pour les résoudre[2],[3]. Des scientifiques environnementaux et d'autres chercheurs ont décrit les positions et écrits de Shellenberger au sujet du changement climatique et l'environnementalisme de « mauvaise science » et « inexacts »[13], tandis qu'il se fait complimenter par certains écrivains et journalistes de la presse populaire, y compris des médias d'actualité et des organisations conservateurs et libertariens[18]. De même, de nombreux chercheurs expriment un désaccord avec les positions et écrits de Shellenberger au sujet des sans-abris, alors qu'il reçoit une réception mitigée des écrivains et journalistes de la presse populaire[24].

  1. (en-US) « Founder & President », sur Environmental Progress (consulté le ).
  2. a et b John Horgan, « Does Optimism on Climate Change Make You Pro-Trump? », Scientific American,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  3. a et b (en) « the-stories-michael-shellenberger-tells », (consulté le ) : « Shellenberger has a history of anti-green contrarianism. He thrust himself into the limelight in 2004, when he and Ted Nordhaus wrote an essay titled The Death of Environmentalism. Thirty-three at the time, Shellenberger was already portraying himself as an environmentalist who had realized that environmentalism’s problem was environmentalism itself... The story Shellenberger has stuck with is that the things environmentalists resist — nuclear, GMOs, fracking, industrial agriculture, and so on — are actually good for the environment. »
  4. Michael Ziser et Julie Sze, « Climate Change, Environmental Aesthetics, and Global Environmental Justice Cultural Studies », Discourse, vol. 29, nos 2/3,‎ , p. 384–410 (JSTOR 41389785).
  5. « Article by Michael Shellenberger mixes accurate and inaccurate claims in support of a misleading and overly simplistic argumentation about climate change », sur Climate Feedback, (consulté le ).
  6. Peter H. Gleick, « Book review: Bad science and bad arguments abound in 'Apocalypse Never' by Michael Shellenberger », sur Yale Climate Connections, Yale Program on Climate Change Communication, (consulté le ).
  7. TJ Demos, Against the Anthropocene: Visual Culture and Environment Today, MIT Press, , 46–49 p. (ISBN 9783956792106)
  8. Jeremy L. Caradonna, Richard B. Norgaard et Iris Borowy, « A Degrowth Response to an Ecomodernist Manifesto », sur Resilience, .
  9. Giorgos Kallis et Sam Bliss, « Post-environmentalism: origins and evolution of a strange idea », Journal of Political Ecology, vol. 26, no 1,‎ , p. 466–85 (DOI 10.2458/v26i1.23238, S2CID 202259917, lire en ligne).
  10. Michel Gelobter, Michael Dorsey, Leslie Fields, Tom Goldtooth, Anuja Mendiratta, Richard Moore, Rachel Morello-Frosch, Peggy M. Shepard et Gerald Torres, « The Soul of Environmentalism Rediscovering transformational politics in the 21st century » [archive du ], Grist, .
  11. Joni Adamson et Scott Slovic, « Guest Editors' Introduction the Shoulders We Stand on: An Introduction to Ethnicity and Ecocriticism », MELUS, vol. 34, no 2,‎ , p. 5–24 (ISSN 0163-755X, DOI 10.1353/mel.0.0019, JSTOR 20532676, S2CID 143615564, lire en ligne).
  12. Taylor Dotson et Michael Bouchey, « Democracy and the Nuclear Stalemate », The New Atlantis, vol. 62, no 62,‎ , p. 15, 26 (JSTOR 26934424, lire en ligne).
  13. [4],[5],[6],[7],[8],[3],[9],[10],[11],[12]
  14. (en-US) Alex Trembath, « Alternatives to Climate Alarmism », sur National Review, (consulté le ).
  15. John Tierney, « Apocalypse Never Review: False Gods for Lost Souls », The Wall Street Journal,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  16. Jonathan Ford, « Are cooler heads needed on climate change? », Financial Times,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  17. Hannes Stein, « Die Illusionen der Öko-Romantiker », Die Welt,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  18. [2],[14],[15],[16],[17]
  19. (en-US) Charles Fain Lehman, « Review: San Fransicko: Why Progressives Ruin Cities », sur Washington Free Beacon, (consulté le ).
  20. (en-US) Benjamin Schneider, « Owning the Progressives: A new book takes aim at San Francisco's social policies », sur The San Francisco Examiner, (consulté le ).
  21. (en-US) Wes Enzinna, « The San Francisco Homeless Crisis: What Has Gone Wrong? », sur The New York Times, (consulté le ).
  22. Olga Khazan, « The Revolt Against Homelessness », sur The Atlantic, .
  23. Tim Stanley, « San Fransicko: a must-read exposé of the misery caused by an ultra-liberal policy experiment », The Daily Telegraph,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. [19],[20],[21],[22],[23]

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